1 avis
47 cordes. Première partie / Timothé Le Boucher
Livre
Edité par Glénat - 2021
Tu finiras bien par m'appartenir, ma jolie proie.Un jour, une métamorphe tombe amoureuse d'un jeune homme nommé Ambroise. Elle peut changer de forme à volonté, mais des questions finissent par la hanter: quel visage doit-elle incarner pour se faire aimer? Qui doit-elle être pour conquérir sa proie?Inconscient de l'obsession dont il est l'objet, ignorant la vraie nature de la créature, Ambroise cherche à acquérir une légitimité au sein de l'orchestre qu'il vient d'intégrer en tant que harpiste. C'est alors qu'il rencontre Francesca Forabosco - cantatrice aussi excentrique que renommée - qui va le prendre sous son aile. Elle lui propose un marché. S'il veut obtenir la harpe de ses rêves, Ambroise devra relever 47 défis. Un seul échec, et l'instrument lui échappe...47 Cordes est l'oeuvre la plus dense et ambitieuse de Timothé Le Boucher. Conçue en deux parties, ce premier tome expose sur près de 400 pages un univers hypnotique, plein de tensions sensuelles et de personnages incarnés. Timothé Le Boucher construit une nouvelle fois un thriller psychologique singulier qui aborde l'obsession et le rapport à l'autre tout en évoquant les travaux de conteurs majeurs tels que Stanley Kubrick, David Lynch, Naoki Urasawa ou Suehiro Maruo...
Voir la collection «1000 feuilles (Grenoble), 2012-»Voir la série «47 cordes»
Autres documents dans la collection «1000 feuilles (Grenoble)»Autres documents de la série «47 cordes»
Se procurer le document
Autre format
Issus de la même oeuvre
Suggestions
Du même auteur
Du même sujet
Avis
Avis des professionnels
-
Coup de cœur qui séduit avec brio
Bienvenue dans l'univers captivant, tantôt onirique tantôt vicié de Thimothé Le Boucher. Véritable œuvre dense et ambitieuse, 47 cordes séduit de par son univers, son ambiance langoureuse, la finesse de son trait, chirurgical et précis, ainsi que ses couleurs faussement chatoyantes. 47 cordes c'est une plante carnivore, belle et terrible, dont on a hâte, avec un peu d'effroi tout de même, de découvrir la fin. Vivement !
Cyril - Bibliothécaire - Le 27 avril 2022 à 10:35